Les premiers habitants du Gabon sont des Pygmées, forestiers, chasseurs vivant dans des communautés familiales de petite taille sur les berges des rivières. Le XVIe siècle voit l’arrivée des peuples bantous d’un groupe de Golo, Nkomi et Irungu. Au Sud-Ouest s’installent les Punu, et à l’extrémité du sud-ouest les Nzebi et les Teke. Au XVIIIe siècle, dans le nord s’intalle le peuple Fang et dans le sud se sont installés les Kita et les Kwele. A l’époque pré-coloniale, le Gabon est constitué petits royaumes tribaux, et une partie du pays est subordonnée au Royaume médiévale du Congo.

INFORMATION UTILE

Nom officiel République gabonaise (GA)
Chef de l'État Ali Bongo Ondimba (depuis le 16 octobre 2009)
Capitale Libreville
Forme de gouvernement République avec deux chambres législatives (Sénat et Assemblée nationale)
Langue officielle Français
Unité monétaire Franc CFA
Population 2 233 000 (estim. 2021)
Superficie (km2) 267 667
Densité (hab./km2) 8.3 (estim. 2021)
Répartition urbains-ruraux
  • Population urbaine : 89,4 % (2018)
  • Population rurale : 10,6 % (2018)
Taux de natalité 30,97 ‰ (2019)
Espérance de vie à la naissance
  • Hommes : 66,8 ans (2019)
  • Femmes : 70,2 ans (2019)

UN PEU D'HISTOIRE

À l'exception du baka, langue nigéro-congolaise parlée par les pygmées, les langues gabonaises d'origines africaines sont des langues bantoues ; elles ont été introduites dans la région il y a environ 2000 ans avec les migrations correspondantes. On distingue quarante à cinquante langues. Elles sont généralement utilisées à l'oral sans être écrites. Alors que les missionnaires venus de France et des États-Unis ont élaboré des transcriptions à partir de l'alphabet latin pour bon nombre de ces langues à compter des années 1840 et ont traduit la bible dans bon nombre d'entre elles, la politique coloniale française officielle a été de décourager l'emploi de ces langues au profit de l'apprentissage du français. Les langues africaines continuent d'être transmises au sein de la famille et du clan.

Drapeau du Gabon

Le gouvernement gabonais encourage depuis les années 1970 la recherche sur les langues bantoues du pays. Vers la frontière avec la Guinée équatoriale, dans quelques villages, on parle espagnol, surtout parmi les personnes âgées. La langue est cependant très minoritaire, étant parlée tout au plus par 1000 à 5000 personnes, lesquelles parlent généralement une langue du groupe Fang ou le français. L'Espagne était présente dans cette région avant 1900. Lors du traité de Paris de 1900, l'Espagne céda à la France la majeure partie des 180 000 km2 qu'elle revendiquait au traité de Berlin, en 1885, dont une grande partie du futur Gabon, et ne conserva que 28 000 km2 qui constituent aujourd'hui la Guinée équatoriale.

Drapeau du Gabon

L'emblème National : LE DRAPEAU

Le Gabon est une république indivisible, séculaire, démocratique et sociale. Elle est fondée sur le principe de la séparation de l'Etat et de la religion et reconnaît toutes les croyances dès lors qu'elles respectent l'ordre public.

La République Gabonaise assure l’égalité de tous les citoyens devant la loi, sans distinction d’origine, de race, de sexe, d’opinion ou de religion.

Le drapeau gabonais est composé de trois bandes horizontales : une verte, une jaune et une bleue.

  • Le vert, symbole de la forêt équatoriale qui couvre la majorité du territoire, évoque la fertilité et la richesse agricole.
  • Le jaune, symbole de l'Equateur qui traverse le territoire d'ouest vers l'est évoque le soleil, la richesse minière et l'hospitalité légendaire de la population gabonaise.
  • Le bleu, symbole de la mer qui baigne les côtes du Gabon, représente aussi les nombreux cours d'eaux qui sillonnent le pays, le ciel et l'image de paix que reflète le Gabon.

Sources : http://www.affaires-etrangeres.gouv.ga/le-gabon-en-bref/fondements-et-symboles

La devise du Gabon : UNION - TRAVAIL- JUSTICE

La devise du Gabon que l’on retrouve sur les symboles de la République

  • Union : l'union de tous les Gabonais, nécessaire à la construction d'un pays fort ;
  • Travail : le travail de chacun bénéficie à tous et il est le seul gage de la réussite et du progrès ;
  • Justice :, la justice protège, assure la sécurité et le maintien de l’ordre et la paix.

Sources : http://www.affaires-etrangeres.gouv.ga/le-gabon-en-bref/fondements-et-symboles

Le sceaux de la République

Le sceaux de la République gabonaise est une « Maternité Allaitant », c’est-à-dire une mère qui allaite son enfant. La mère représente la République, l’Etat Gabonais qui nourrit ses enfants, les protège, les soigne, les éduque et veille en permanence sur leur bonheur. L’enfant représente chacun d’entre nous, membre d’une famille, la nation gabonaise à qui nous devons respect, obéissance et amour.

Sources : http://www.affaires-etrangeres.gouv.ga/le-gabon-en-bref/fondements-et-symboles

Le blason de la République

Il est composé d'un ecu central, de forme triangulaire, où apparalt un navire qui symbolise la nation voguant vers un avenir meilleur. Le fond noir de cet ecu représente l'Afrique. L'arbre, un okoumé, sur lequel est fixé l'ecu, montre I'importance du bois dans l'économie du pays. Les trois cercles, au sommet de l'ecu, représentent les grandes richesses minières. Deux panthères appellent chaque Gabonais à la vigilance et au courage; elles évoquent le chef de l'Etat veillant sur le bonheur et l'avenir de la nation.

Estuaire

Estuaire

Haut-Ogooué

Haut-Ogooué

Moyen-Ogooué

Moyen-Ogooué

Ngounie

Ngounié

Nyanga

Nyanga

Ogooue-Lolo

Ogooue-Lolo

Ogooue-Ivindo

Ogooue-Ivindo

Ogooue-Maritime

Ogooue-Maritime

Woleu-Ntem

Woleu-Ntem

Un hymne national est une musique de circonstance destinée à représenter un État et, à travers lui, la Nation. Sa création est d'ailleur concomitante de la naissance des États-nations au XIXe siècle. L'hymne véhicule l'identité du pays et contribue à éveiller et entretenir le sentiment d’appartenance. Ce chant souvent lyrique exprime la joie, l'enthousiasme et suscite l'émotion du public lors de son interprétation. L'hymne participe au rituel politique. Il est joué par les musiques civiles ou militaires lors des cérémonies officielles ou lors de rencontres sportives.

Utilisé comme symbole et emblème au même titre que le drapeau, la devise ou la fête nationale, il fait figure de signature sonore d'un État, le personnifie, l'unifie.

Georges DAMAS ALÉKA est né le 18 Novembre 1902 à Libreville. Il commence ses études à la mission catholique, notamment à l'école primaire Mont Fort, avant de les parfaire par correspondance auprès de l'école universelle.

En 1924, il a 22 ans lorsqu'il entre dans la vie active avec comme premier lieu d'emploi, la banque. Il y reste longtemps avant de se retrouver, à la veille de la seconde guerre mondiale, chef comptable à la compagnie des chargeurs réunis, poste qu'il ne quittera que quelques temps avant l'Indépendance.

Toutefois, le fait d'occuper de très sérieuses fonctions dans l'une des entreprises les plus importantes du Gabon n'empêche pas Georges DAMAS ALÉKA de s'adonner à la grande passion de sa vie: la musique. Il n'est pas rare de retrouver le chef comptable au #Joyeux_Palace, le premier "Club_Dancing" de Libreville, où il joue l'accordéon au sein d'un orchestre de bonne classe.

En 1952, la création du Cercle Culturel lui donne l'occasion de monter de toutes pièces la première harmonie Gabonaise, la Sainte Cécile qui compte une vingtaine de membres. Même s'il a une préférence pour l'accordéon, Georges DAMAS ALÉKA touche à toute sorte d'instrument de musique. Fort de son talent, il forme un à un, tous les musiciens de la #Sainte_Cécile. Le succès est immédiat et le groupe est sollicité pour prester à toutes les grandes soirées. On ne peut prétendre organiser une fête réussie sans que la #Sainte_Cécile ne soit là pour l'animer.

Dès 1948, Georges DAMAS ALÉKA fait partie du conseil privé du Gouverneur du Gabon. En 1954, pour des raisons personnelles, il change son patronyme Georges NDAMA et devient Georges DAMAS ALÉKA. Il a 52 ans. En 1956, la première élection municipale de Libreville le porte au Conseil. En 1959, il représente le Gabon au Conseil Économique et Social de la République. En avril 1959, il est invité par le gouvernement Américain. Il en profite pour visiter plusieurs États.

Le 14 Avril 1959, très exactement, il est à MADISON, l'hiver est rude, le printemps n'arrive pas à se poindre. Il marche sur les bords d'un lac, ses pas résonnent sur la terre dure. Au loin, des gosses sur un radeau tentent de rejoindre la rive. L'air est sec, des oiseaux qui piétaient sur la glace qui borde le lac s'envolent en poussant des cris rapides, aigus. Georges pense à son pays lointain, écrasé de chaleur sous le soleil de l'équateur et, comme chaque fois que sa pensée vagabonde, des notes de musique s'accrochent aux sons qu'il entend. Ré, Sol, Fa, La, Sol, Si, Ré, l'oiseau reprend au bout du lac, Sol, La, Si, La, Do, Si, Ré... #Georges le fredonne puis poursuit sa marche.

Quelques jours plus tard, il est sur le chemin du retour. Les mêmes notes trottent dans sa tête. À peine arrivé chez lui, il sort son accordéon, s'installe confortablement et commence Ré, Sol, Fa, La, Sol, Si; ses doigts glissent en une mélodie joyeuse, plus tard des paroles viendront s'y couler "Unis dans la concorde...". L'hymne Gabonais vient de naître.

En 1960, il est nommé directeur de la Maison du GABON à Paris. En 1961, après avoir fait un stage de diplomatie au quai d'Orsay, il prend la tête du tout nouveau poste d'ambassadeur du Gabon en Belgique, aux Pays_Bas et au grand Duché du Luxembourg. Il y restera jusqu'au printemps 1964 où, candidat pour la province de L'Estuaire aux élections législatives d'Avril, il est élu et devient Président de l'Assemblée Nationale, succédant à Louis BIGMANN.

Il y restera jusqu'au mois d'Avril 1975, au moment où Léon MEBIAME, Vice Premier Ministre du Gouvernement, devient Premier Ministre. À 73 ans, il se retire de la vie politique à cause de ses problèmes de santé, laissant sa succession à l'Assemblée, à Paul GONDJOUT.

Il est ensuite nommé, à titre honorifique, Conseiller d'État. Alors commence pour lui une période calme dont il jouit, entouré de sa famille.

Au début 1980, celui qui toute sa vie a su allier l'art et la politique sent ses forces l'abandonner.

Après plusieurs mois d'une implacable maladie, Georges DAMAS ALÉKA, l'auteur compositeur de la CONCORDE meurt le 4 Mai 1982.

La République Gabonaise est organisée selon les principes de la souveraineté nationale, de la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire et celui de l’Etat de droit.

Le Pouvoir Exécutif

Le Président de la République est le chef de l’Etat ; il veille au respect de la Constitution ; il assure, par arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’Etat. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des accords et des traités. Il détermine, en concertation avec le Gouvernement, la politique de la Nation. Il est le détenteur suprême du pouvoir exécutif qu’il partage avec le Premier Ministre.

Le Pouvoir Judiciaire

Le pouvoir judiciaire est représenté par un Parlement composé de deux chambres :

  • L'Assemblée Nationale
  • Le Sénat

Le Pouvoir Législatif

La justice est rendue au nom du peuple gabonais par la Cour Constitutionnelle, la Cour de Cassation, le Conseil d’Etat, la Cour des Comptes, les Cours d’Appel, les Tribunaux, la Haute Cour de Justice et les autres juridictions d’exception. La justice est une autorité indépendante du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Les Éléments constitutifs du pouvoir judiciaire sont les suivants :

  • La Cour Constitutionnelle ;
  • La Cour de Cassation, la plus haute juridiction en matière civile, commerciale, sociale et pénale. Elle est divisée en chambres civile, commerciale, sociale et pénale ;
  • Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction de l'Etat en matière administrative;
  • La Haute Cour de Justice, juridiction d’exception non permanente ;
  • La Cour des Comptes, chargée du contrôle des finances publiques. A cet effet :
    • Elle assure le contrôle de l’exécution des lois de finances et en informe le Parlement et le Gouvernement ;
    • Elle vérifie la régularité des recettes et des dépenses décrites dans les comptabilités publiques et s’assure, à partir de ces dernières, du bon emploi des crédits, fonds et valeurs gérés par les services de l’Etat ou par les personnes morales de droit public ;
    • Elle assure la vérification des comptes et de la gestion des entreprises publiques et organismes à participation financière publique ;
    • Elle juge les comptes des comptables publics ;
    • Elle déclare et apure les gestions de fait ;
    • Elle sanctionne les fautes de gestion commises à l’égard de l’Etat, des collectivités locales et des organismes soumis à son contrôle.

La République Gabonaise adopte le Français comme Langue officielle. Elle assure aussi la protection et la promotion des langues nationales. La capitale de la République est Libreville. Elle ne peut être transférée que par Référendum. La date de la fête nationale est le 17 août.

1471 : Le Gabon est découvert par les portugais ;
1492 : Le portugais Diégo Cam installe les comptoirs ;
1580-1600 : Les Hollandais supplantent les portugais ;
1608 : Repression des autochnes révoltés ;
1839 : Un traité est conclu entre la France et le Roi Denis Rapontchombo, permettant aisi aux Français de s'établir sur la rive gauche de l'estuaire ;
1843 : La France établit son premier établissement officiel, Fort-d'Aumale ;
1849 : Willaumez débarque des esclaves libérés de l'Elezia(navire négrier portugais) : Libreville est créée ;
1862 : Le Gabon devient un protectorat français ; le Roi Ndebulia cède à la France qui prend ainsi possession de Cap Lopez ;
1879-1882 : Savorgnan de Brazza fonde Franceville et Brazzavile. Makoko, Roi des batékes, cède à la France un vaste territoire ;
1883 : Le Gabon devient une colonie ;
1888 : Le Gabon est rattaché au Congo ;
1904 : Le Gabon est rétabli ;
1910 : Le Gabon devient une partie de l'Afrique Equatoriale Française (AEF).

En 1472, le Gabon est découvert par les navires portugais. Le pays suscite aussi l’intérêt des marins français, danois et britanniques qui visitent régulièrement la côte pour marchander avec les tribus locales l’ivoire, les espèces de bois précieux et les esclaves.

En 1849 est fondée la capitale de Libreville colonisée par les esclaves affranchis par les Français. En 1886, le gouvernement français nomme un gouverneur au Gabon et le pays devient une colonie. Deux ans plus tard, le pays intègre le Congo français, et en 1910, il devient une partie de l’Afrique équatoriale française. En 1911, la partie nord du pays est occupée par l’Allemagne et revient dans les anciennes frontières après la Première Guerre mondiale.

En 1940, le Gabon est subordonné au gouvernement de Vichy, et en 1946, il est devient un «territoire d’outre-mer» de la France. A cette époque, le maire de Libreville, Léon Mba, fonde le premier parti politique, le Mouvement Gabonais Mixte (MMG), qui est le bras local du Rassemblement Démocratique Africain (RDA). En réponse, en 1948, son adversaire politique et membre du Parlement français, Jean-Hilaire Obame créé sa propre organisation, l’Union Démocratique et Sociale Gabonaise (UDSG).

Le 17 Août 1960 est déclarée l’indépendance du Gabon et six mois plus tard, Léon Mba est élu président de l’Etat.

Au début, Léon Mba organise un gouvernement de coalition en nommant Jean Hilaire Obame ministre des affaires étrangères. Mais les relations tendues entre les deux homme conduisent à la dissolution de l’Assemblée nationale et à l'annonce de nouvelles élections. Avant l’élection, Léon Mba est renversé par un coup d’Etat militaire, et Obame est invité à l’organisation d’un gouvernement intérimaire. Peu de temps après, Léon Mba revient au pouvoir.

Après la disparition d’Omar Bongo Ondimba en 2009, Ali Bongo Ondimba devient Président de la République après des élections au suffrage universel. Fonction qu’il occupe à ce jour.

Sources : https://presidence.ga/histoire-du-gabon/

1960 (17 août) : Proclamation de l'indépendance de la République du Gabon ;
1961 (13 février) : Léon Mba est élu président ;
1961 (21 février) : La Constitution instaure un régime présidentiel à la place de l'ancien régime parlementaire ;
1964 (18 février) : Echec d'un coup d'Etat militaire ;
1965 (12 février) : Le Gabon est élu membre du Conseil économique et social de l'ONU ;
1967 (19 mars) : Réélection de Léon Mba à la présidence de la République ;
1967 (28 novembre) : Mort de Léon Mba. Le vice-président Omar Bongo lui succède (2 déc.) ;
1968 (15 juin) : Institution du Parti démocratique gabonais (PDG), parti unique. Omar Bongo cumule les fonctions de président et de secrétaire général du parti ;
1972 (septembre) : Différends frontaliers entre le Gabon et la Guinée Equatoriale ;
1975 (10 juin) : Le Gabon devient membre de plein droit de l'Organisation des pays producteurs et exportateurs de pétrole (OPEP) ;
1979 (14 décembre) : Premières élections aux assemblées provinciales, départementales et municipales ;
1981 (décembre) : Grèves des étudiants. Le président Bongo ferme l'université de Libreville ;
1982 (novembre) : Procès d'une quarantaine d'opposants (Mouvement du redressement national, MORENA) devant la Cour de Sûreté de l'Etat ;
1983 (17 octobre) : Conférence constitutive de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) à Libreville ;
1990 (février) : Multiplications des grèves dans tous les secteurs de l'économie ;
1990 (22 mai) : Instauration officielle du multipartisme ;
1990 (23-30 mai) : Emeutes à Libreville et Port-Gentil à la suite de la mort d'un opposant ;
1990 (16-18 sept) : Premières élections multipartites. L'élection de 58 députés est confirmée, pour les autres, le scrutin est annulé et reporté. A la suite de quatre tours de scrutin, le PDG obtient 63 sièges et l'opposition 57.
1993 (5 décembre) : Première élection présidentielle pluraliste. Omar Bongo est réélu devant le père Mba Abessole, président du Rassemblement national des bûcherons;
1997 (18 avril) : Révision de la constitution qui prévoit notamment la création d'un poste de vice-président et l'extension du mandat du président de 5 à 7 ans.
Départements du Gabon
Carte de situation

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Carte de générale

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Carte de administrative

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Carte de physique

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Sources : https://www.universalis.fr/atlas/afrique/gabon/

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